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Je me trouve à Paris depuis seulement quelques semaines et je suis déjà offusqué par la folie dépensière de ce peuple en vue de la conjoncture actuelle. Ils disentconnaître une période de récession et pourtant leurs dépenses se portent toutes vers des achats plus futiles les uns que les autres. Cette communauté n'est qu'un amas de conflits incessants et injustifiésentraînant tout être vivant dans un état de confusion absolu ! Les pouvoirs politiques du pays ont été corrompu par cette animosité habitant le peuple au point de tenter de répandre celle-ci dans lemonde entier .
Les transferts monétaires de cette ville sont dignes d'un conte imaginaire ! Je n'ai pas vu une seule personne sortir d'une boutique sans avoir dépensé un minimum de trente eurosl'équivalent d'une semaine de travail chez nous, aux Philippines. Ici, pièces,billets et autres moyens de paiements primitifs tels que les nôtres ont été totalement éradiqué de la circulation. Lesparisiens se servent d'un étonnant morceau de plastique rectangulaire appelé carte bleue. Ils tapent quatre chiffres et peuvent alors dépenser sans compter ! Vois-tu alors que nous négocions le prix du painafin d'essayer de subvenir aux besoins alimentaires de notre famille, les parisiens eux dépensent jusqu'à cent cinquante euros dans un bout de tissu servant de foulard autrement dit un mois detravail aux Philippines. Suis-je bête ! Ce tissu était violet foncé voici la raison de son prix, puis c'était une affaire il était vraiment pas cher ! En un mois et demi j'ai vécu deux événements majeurs dela vie parisienne : Les fêtes et les soldes. Pour se commémorer la naissance de Jésus, ici, on mange à outrance et nous dépensons de manière chaotique dans des présents tous plus chers les uns queles autres mais aussi tous plus inutiles les uns que les autres. Or chez nous, on préfère s'offrir de quoi nous nourrir … de quoi vivre de manière correcte . Cela me mène au second événement qui lui... [à