gestion du changement
Je profite de cette journée internationale de la femme pour exposer un sujet en lien avec cette actualité. La participation de la femme ouvrière dans l’industrie et notre perception de la chose.
En effet, on croit que certains métiers sont consacrés aux hommes, en industrie mécanique par exemple (usinage, montage …). L’idée est d’exiger la parité, égalité hommes/femmes : sans parler de nombre, au moins lui donner sa chance.
Niveau logique affecté (texte et dessin fléché si necessaire)
Le troisième niveau partant d’en haut de la pyramide de cohérence causale est affecté. Notre croyance, nos jugements et notre évaluation nous font penser que ces métiers sont réservés à l’homme. Des raisons historiques, de physique ou d’adaptation nous poussent à rester sur cette idée.
Hors, avec la configuration actuelle de l’industrie (installations robotisées à piloter, commandes numérique), les contraintes citées n’ont plus de raisons d’exister. La femme peut au même titre que l’homme exercer dans ces conditions.
Cohérences: qu’est-ce qui entraine quoi
L’impact sur le niveau « valeurs » entraine de revoir et corriger le niveau « identité ». Le thème touche notre perception de nous-mêmes ainsi que la perception de nos rôles et de nos missions. Pour arriver à faire évoluer notre conviction à dire que la femme est capable de faire les métiers évoqués, nous sommes obligés de transformer notre identité et lui faire admettre cette distribution plus équilibrée des rôles.
Un dialogue où le mélange convictions / faits se retrouve
Un dialogue mené sur la crise connue pendant une période par mon entreprise. Les convictions nous ont poussé à dire que la société perd ses parts de marché parce qu’elle a régressé en organisation et en fiabilité. Cette conclusion ne se base que sur un sentiment. Les faits sont que le marché est en décroissance et des statistiques le prouvent, la société perd même moins au prorata de la baisse de ce marché. Il est