Au 17e siècle madame de la Fayette écrit la princesse de Clèves consider comme le premier roman d'analyse physiologique. L’histoire se déroule à la cour d’Henri II, mademoiselle de chartres épouse le prince de Clèves alors qu'elle est amoureuse du duc de Nemares, un aspect tragique du roman.
Au debout du roman, mademoiselle de Clèves qui deviendrait madame Chartres apparaît à la cour et soucite l'admiration de tous.
On quoi se portrait refletè-il la noblesse du 17e siècle? On a le portait élogieux par entrée en scène du personnage ligné 1:(...) l'entrée est remarquée et remarquable du personnage extraordinaire presque parfait qui attire le regard de la cour et du lecteur on voit un effet d'attente, le nom de la fille de madame de chartre apparaît jusqu'à à la fin de l'extrait. Le portrait physique de mademoiselle de Clèves est meliorative et hyperbolique à la fois.
La métonymie " une beauté" remplace le nom de mademoiselle de Clèves par une qualité .
Dernières lignes se concentrent sur son physique avec précision : « la blancheur de son teint », « cheveux blonds », tous ses traits étaient réguliers », « grâce et charmes ».La Blancheur signifie qu’elle ne fait pas de travaux manuels, qu’elle n’est pas dehors à travailler la terre. Éloge de sa beauté stéréotypée est marqué par des hyperboles : « beauté parfaite », « grande beauté », utilisation d’expressions hyperboliques « il fut surpris », « il en fut surpris avec raison », répétition pour insister, enfin comparaison élogieuse : « elle donna de l’admiration dans un lieu où on était si accoutumé à voir de belles personnes ».
Mademoiselle de Clèves incarne la beauté divine et parfaite qui permet aux lecteure de s'il immaginer. Le passé de Mlle de Chartres nous permet de comprendre sa personnalité.
Elle a été élevée par sa mère :« son père était mort jeune » et elle a passé son enfance éloignée de la vie de cour :« elle avait passé plusieurs années sans revenir à la cour ».
Mme de Chartres a entièrement