Franc maçonnerie
Et Dieu dans tout ça ?
« Tout se transforme rien ne meurt» disait Lavoisier… Quand l’heure viendra serons-nous transformés en bleuet ou en grisaille, pour ne pas changer notre quotidien. Question existentielle qui ne va pas changer d’un iota la nature de l’Homme, dit moderne, se croyant de tout temps maître de l’univers. Au point de s’être attribué depuis toujours tous les attributs, tous les droits, toutes les qualités de la Création et quasiment sans aucun devoir à s’infliger comme contre partie. Plus, au point d’avoir érigé en règle suprême des rapports de force supérieurs avec ses congénères, comme avec son environnement d’ailleurs, faisant même croire, à certains, qu’ils pourraient être justement les maîtres de ce monde.
Par cette attitude irresponsable, l’Homme a négligé ou exploité, sans aucun égard et à son seul profit, les règnes de la nature. Ces règnes grands et petits qui sont issus de la même matrice, de la même volonté, de la même miséricorde et probablement du même amour relationnel au Créateur, pourquoi pas. Sauf qu’il a enfermé Dieu dans des croyances spirituelles séparées, de la vie ordinaire et quotidienne. Responsable d’avoir édifié des théories voire des dogmes, et pire, de se les être appropriés. De tout temps d’avoir, sans aucun droit, sans aucune légitimité et impitoyablement, imposé sa version de Dieu par la force, prônant seulement la terreur. Au point d’en faire, alors qu’il était signe de fraternité supérieure, un venin que l’homme a répandu partout où il est passé...
Où est l’engagement humaniste ?…
Faisant régner ainsi la force en règle ; oubliant les particularités qui nous ont été données, ou prêtées, à savoir l’esprit, l’âme, la pensée, la vie, qui sont en toutes choses essentiels à se sentir Homme. Comme un gène malin inscrit, pourrait-on croire, dès la création, générant le fléau qui s’introduit dans le monde par la seule volonté de l’Homme, par ses pensées, par ses actes, par sa convoitise de tout