Fiscalité
Sous-argument (1) : La prise de possession de la terre de ses ancêtres et la venue au monde de son fils donne à Didace l’impression de devenir plus puissant, aussi puissant qu’un arbre comme l’image bien la métaphore de la page 80. : «Quand il avait pris possession de la terre ancestrale, puis à la naissance de son fils, un sentiment […] de plénitude, l’avait pénétré jusque dans sa substance même : la force tranquille de l’arbre qui, a chaque jour, a chaque heure, a chaque instant, enfonce ses racines plus avant dans le sol. »
Sous-argument (2) : Lorsqu’il se rappelle les femmes de la famille Beauchemin, Didace les décrit comme : «de vraies belles pièces de femmes, fortes, les épaules carrées, toujours promptes à porter le fardeau d’une franche épaulée, ne s’essoufflent jamais au défaut de la travée. Elles ont toujours tenues à honneur de donner un coup de main aux hommes quand l’ouvrage commande dans les champs. Et un enfant à faire baptiser presquement à tous les gens. » (p. 29) Ces femmes qu’ils idéalisent sont le reflet de la femme sédentaire de l’époque qui plaçait sa famille et le travail domestique en avant plan.
Sous-argument (3) : La femme qui fait balloter le cœur du Survenant, Évangéline Desmarais, est elle aussi présentée comme une grande travaillante : « Levée avec le jour, Angélina travaillait durement. […] Elle savait naturellement prendre l’ouvrage dans le bon sens.