Fiche de lecture de the watercooler effect: a psychologist explores the extraordinary power of rumors
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Référence : DiFonzo, Nicholas. The Watercooler Effect: A Psychologist Explores the Extraordinary Power of Rumors. New York: Avery, 2008
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Idée / dominante : Etude sur l’impact d’un démenti
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Résumé :
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Pourquoi les rumeurs sont si faciles à croire et si difficile à démentir ?
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Dans « The Watercooler Effect » (terme américain désignant le moment où les employés se réunissent autour de la machine à café, ou fontaine d’eau littéralement), le psychologue Nicholas Difonzo explore l’anatomie d’une rumeur, et sonde ce qu’il se passe à ce moment si particulier de la vie de l’entreprise. Quelles soient politiques, culturelles ou domestiques, les rumeurs font parties de notre capital social, et, même si méprisées, font aussi parties de l’experience humaine.
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Selon Difonzo, l’origine de la rumeur vient du fait que l’être humain a un besoin intrinsèque de donner un sens au monde. En tant qu’être social, l’homme se sent obligé de parler et de se rassurer en inventant des faits lorsque qu’il se sent menacé par quelque chose de nouveau, ou lorsqu’il fait face à l’ambigüité et l’incertitude. C’est de ces spéculations que naissent les rumeurs, une sorte de réponse collective à l’incertitude.
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Diffuser la rumeur a une base psychologique aussi. C’est un moyen de créer du lien social et de se mettre en valeur, en temps que personne qui détient l’information.