Le sport de haut niveau demande des efforts, des efforts surhumains qui s’acquièrent de façon illégale voire dangereuse pour la santé du sportif de haut niveau. Le sportif cherche à affronter ses limites de manière a étonner son public, à faire parler de lui et montrer sa puissance en matière de performance jusqu'à en oublier sa douleur physique et morale. Le sportif dégage une image de héro, de combattant comme Jason Wening qui détient six records du monde de natation avec ses deux jambes amputés et qui malgré son handicap n’a pas abandonné la compétition, il a persévéré jusqu’à devenir un champion. Dans son article I. Quéval nous parle de l’omniprésence du dopage dans la société, et qui est consommé de manière « banale» par tous, d’où l’invention du mot « potion magique » qui est assimilé au dopage. Dans ce devoir, nous nous demanderons est-ce qu’au final le dopage doit être condamné ? Afin de répondre à cette question nous verrons dans un premier temps que le dopage doit effectivement être condamné et en second temps qu’il est malgré tout difficile de lutter contre le dopage que se soit dans le milieu sportif ou quotidien.

En effet, le sport de haut niveau est synonyme de performance. Or cette performance ne peut être atteinte seule, le sportif a obligatoirement recourt à une « potion magique » qui puisse l’amener au summum de la victoire, voire jusqu'à tromper son public. Yannick Noah a avoué clairement que sans l’utilisation de dopage le sportif ne peut gagner de victoire et combler son public. Le dopage ne m’est pas les sportifs à égalité lors d’une compétition, son administration permet au dopé de repousser les seuils d’aptitude et de capacité : il lui permet de progresser constamment, alors que le non-dopé se limite à ses capacités physiques tout en ayant la volonté de gagner par ses propres moyens ce qui n’est pas du tout le cas du dopé. Cette substance créée clairement des inégalités entre chaque adversaire.

De plus l’utilisation du dopage peut