Le film débute en 1942. Philippe Gerbier, ingénieur, soupçonné de tendance gaulliste, est incarcéré dans un camp de prisonniers. IL est ensuite livré à la Gestapo qui l’emmène à Paris. Il réussit à s’en échapper. Avec Félix et « Le Bison », ils exécuteront le traître à Marseille (lieu du Q.G). Félix rencontrera Jean-François dans un café et persuade ce dernier de rejoindre le réseau. Il accomplira différences missions comme livrer un poste émetteur à Mathilde (figure très importante du réseau). Jean-François rendra visite à son frère Luc surnommé « saint-Luc ». Gerbier se cachant à Lyon projette d’embarquer 8 personnes à destination de Londres. Le « grand patron » (dont l’identité est jalousement garder) fait partie du voyage et il se trouve que c’est « saint Luc ».
Les deux frères ignorant les activités de l’autre. Gerbier va devoir rentrer en France : Félix a été arrêté par la Gestapo. Mathilde organise un « coup » pour le sortir du Q.G de la Gestapo mais il est trop tard car Félix est mourant. Jean-François s’était fait prisonniers exprès pour prévenir Félix de sa future évasion lui donne son unique pilule de cyanure. Peu après, Gerbier se fait arrêter bêtement et est condamné à mort. Il en réchappe grâce à un plan conçu par Mathilde. Gerbier s’éloigne quelques temps à la campagne dans sa « planque ». Luc apprend alors à Gerbier que Mathilde a été arrêtée. Elle subit du chantage : révéler le nom de ses camarades ou sa fille sera envoyé en Russie dans une maison de prostitution. Finalement, ont apprend que Mathilde a été relâchée : comprenant que Mathilde souhaite qu’on la supprime pour qu’elle ne parle plus, ses compagnons d’armes l’abattront en plein Paris. Le film se termine avec l’annonce, successive, des morts des quatre