Dans l’article du journal “Le Monde” un professeur d’université, Robert Holcman, se propose de découvrir la réflexion sur la position de l’égalité ou l’inégalité des riches et des pauvres devant la mort. C’est pourquoi il se demande si la légalisation de l’euthanasie est une bonne solution autant pour le gravement malade que pour la société en générale. Il affirme que la légalisation de l’euthanasie contribue à un nouveau marqueur de distinction entre ces derniers. Car la possibilité de choisir le moment de sa mort serait surtout disponible pour les nantis. Cette positon Robert Holcman explique par la présence des réseaux de connaissances et d’influences qui pourraient aider ces personnes favorisées en les utilisant le moment venu. Bien évidement, ces liens entre riches confortent l’inégalité dans la société. Cette volonté mise en pratique par cette classe pourrait donner à un nouveau privilège pour ces élites. L’auteur souligne que, dès le début, l’existence de l’inégalité entre riches et pauvres devant la mort est déjà reconnue par toute une série d’études sur la longévité en fonction de la position sociale des individus. Robert Holcman démontre que l’absence de la santé parmi les plus modestes provoque déjà une dégradation de la vie. Car ils ont souvent des métiers durs et pénibles avec des horaires difficiles. Ce que prend beaucoup de leur force et de leur énergie. Par conséquent, leur espérance de vie se trouve diminuée. Tandis que les cadres et les professions supérieures ont un travail plutôt intellectuel qui ne s’accompagne pas par des actions épuisantes. Ce qui leur donne la possibilité de garder la santé en pleine forme: éviter un départ prématuré et favoriser la longévité. L’auteur, Robert Holcman, conclue qu’on ne peut pas échapper l’existence de cette inégalité. Riches et pauvres ne sont mêmes pas égaux devant la