Et si c’était niais
Dans le livre, Et si c’était niais, on nous transporte dans un monde de pastiches. L’auteur Pascal Fioretto, journaliste, écrivain, scénariste et nègre littéraire français écrit ce roman d’humour à notre époque. En 2007, il rédige son œuvre parodique dans laquelle Pascal pastiche des écrivains comme Bernard Henri-Lévy, Anna Galvauda etc. L’éditeur Chifflet et Cie est lui-même parodié ainsi que les nègres littéraires de cette maison d’édition dont il était dans le passé. Le texte qui suit démontrera comment utilise l’anthropomorphisme et les descriptions dans un texte lyrico-comique tiré de l’extrait pastiché du livre Et si c’était vrai de Marc Lévis. Tout d’abord l’anthropomorphisme est un déplacement des sentiments normalement ressenti par une personne vers quelque chose. Dans le livre, Et si c’était niais? Adam le personnage principal de l’histoire porte un véritable amour envers sa voiture prénommée Kathleen qui est une Ferrari, puisqu’il croit l’avoir abandonnée après avoir fait un accident. Dans l’extrait suivant, on peut constater son affection pour elle : « Elle ne tirait plus, Adam. Elle se traînait dans les montées, elle en avait assez. De moi et de tout. Un jour, je l’ai lavée, cirée, lubrifiée et puis je l’ai regardée droit dans les phares je lui ai dit où je l’emmenais. Elle n’a pas bronché. Comme si elle était aussi soulagée que moi que cela s’arrête. » Par contre Adam, lui ne voulait pas s’en défaire : « Tu sais bien que je ne suis pas pour l’euthanasie. J’aurais peut-être pu la sauver, la prendre chez moi. » Pour lui, l’amour qu’il a pour sa Ferrari est comme l’amour qu’il pourrait porter a une femme, à la vie à la mort, comme il le répète constamment dans le livre. Par la suite, il y a aussi son meilleur ami Mike qui est le seul à être incapable de voir l’esprit de sa femme dans le coma. Sylvia fait tout pour se faire remarquer par l’homme qu’elle aime tant mais sans succès : « C’est de pire en en pire : il ne me voit