Est-il rationnel de croire en dieu ?
TSTG3
Devoir de philosophie
Chapitre 6 : Les sauvages sont-ils des barbares ?
Question n° 1 : Lévi Strauss sous entend que tous ce qui n'entrait pas dans les normes de la vie et les comportements habituels étaient qualifiés d'habitudes de sauvages. Il analyse alors le comportement de la population face à ces habitudes et souligne le rejet que la population pouvait avoir vis à vis de ces derniers : une oppositon complète à la culture humaine . Comme il l'explique plus loin , à cette époque, la population refuse d'admettre une hétérogénéité de la culture et refuse toutes différences. Selon l'auteur, les habitudes sauvages ne relèveraient que d'une façon d'être et feraient parties intégrant de la définition de culture, une culture diversifiée .
L'auteur veut à travers ce texte faire passer un message, les barbares et les sauvages feraient parti intégrante de la culutre, ils seraient même à l'origine d'une culture diversifiée. Ceci reste contesté par la popuation qui n'envisage pas de qualifier de culture tout sujet qui serait incapable d'avoir des comportements et des langages « humains ».
Question n° 2 :
L'auteur montre l'importance que la population fait des mots qui qualifient ces hommes « sauvages et barbares ». Puisque l'étymologie du mot barbare s'oppose totalement à la notion de langage humain et que sauvage suggère une vie animal et donc non humaine, ces derniers ne cherchent pas à aller au delà des mots et associent alors parfaitement ces adjectifs aux personnes concernées. « Si l'étymologie du mot le suggère, ces gens ne sont pas humains », c'est ainsi que ce dit la population et c'est ce que l'auteur voudrait d énnoncer. Les « étiquettes » sont trop souvent donner aux personnes, sans qu'elles ne puissent se défendre de ce jugement précipité .
Question n° 3 :
Ce texte n'affirme pas effectivement la présence de lien de supériorité entre une civilisation et une autre. Cependant on peut penser