Erasme
a) Érasme dit « le prince de l'humanisme » à reçut une éducation religieuse, il est ordonné prêtre en 1492. C'est un homme de savoir alors que rien ne le prédestinait à le devenir. Il rédige les Annotations au Nouveau Testament en 1505, mais très vite, il rompt avec le monde religieux pour enrichir ses connaissances auprès d'intellectuel tel que Thomas More. Il publie également des manuels de grammaire et de rhétorique ce qui fait de lui l'un des précurseurs littéraire de son époque. Il marque l'importance du retour aux textes antiques en publiant une nouvelle édition des Adages, déjà parut en 1500, dans lequel il commente de plusieurs point de vues des citations grecques et latines. Finalement, il s'inscrit dans la tradition humaniste en publiant L'éloge de la folie , pamphlet satirique. De plus, il prend la défense des Princes et des Grands qui dispose de « toute la franchise qui convient de leur rang ». Ainsi, Érasme est désigné comme un prince humaniste puisque ce dernier est un modèle pour l'époque : Il à voyagé à travers l'Europe, en Angleterre, en France, en Italie ce qui lui à permit d'enrichir son savoir, il s'inspire et s’intéresse aux œuvres antiques, il réfléchit et critique les faits de société.
b) Le projet d'Érasme dans L'Éloge de la Folie est de faire une critique des différentes classes sociales de l'époque. En effet, en utilisant l'allégorie de la folie pour s'exprimer, il se détache de toute responsabilité et ajoute une teinte ironique à son discours. Ici, il critique la société humaine, et se détache ainsi par son esprit humaniste. Dès le début de la préface l'on se rend compte de la place de l'humanisme dans son argumentaire, il fait des références antiques en comparant sont action à celles d'Ovide, Polycrate ou encore Virgile. Il détermine également les classe sociales visées par sa satire, il compare en effet les théologiens et la « modestie chrétienne » à des détracteurs. De plus, dans l'extrait Folie parle, il critique