entretiens sur le bon usage de la liberté
1) La thèse dont veut dégagez l’auteur est d’avoir le sentiment/l’appartenance d’être libre. Avoir une liberté sans même la posséder, il s’agit là d’une situation privilégiés à laquelle on n’aurait pas envie d’avoir. C’est-à-dire qu’être en position d’être libre signifie que le statu auxquelles on appartient, n’a plus d’importance aux yeux de notre réel désir.
Jean GRENIER implique la sorte du privilège de se sentir « libre » Avoir aucune attache, ne rendre de compte à quiconque.
Les étapes du texte est d’abord le premier abord : « Quelqu’un m’a raconté qu’étant entré dans la gare de Milan, d’où des trains p partent dans toutes les directions de l’Europe par suite de la situation de la ville, il avait été pris d’une affreuse angoisse à la pensée qu’il pouvait aller aussi bien à Lyon qu’à Berlin, à Venise qu’à Marseille, à Vienne qu’à Constantinople. Il faut dire aussi qu’il se trouvait dans cette situation privilégiée qui consiste à n’en point avoir : pas de métier, pas de famille, aucune attache d’aucune sorte – c’est ce qui s’appelle être libre, mais bien entendu pas d’une « liberté en situation ». » Jean GRENIER veut énoncer que libre signifie on entend par situation Il parle d’avoir une situation, d’avoir une bonne situation sociale. Il n’a pas d’obligation professionnel, il n’a pas d’obligation familiale = Il n’a pas d’attache. C’est absence de situation peut être une situation privilégiés alors qu’on le dit que nous somme privilégies quand on a une situation (travail, famille, argent). Pas d’attache donc être libre.
2) a) Avoir une situation consiste à ne pas en avoir, ex = pas de famille, pas de métier … Il est dans une situation qui consiste à ne pas avoir de situation familiale, sociale …
En quoi cette absence de situation serez privilégié ?
On parle d’avoir une bonne situation, il y a l’idée = Ne pas en avoir est une bonne chose pas avoir d’attache donc être libre.
b) Il