Enseignement
Une autre cause pricipale qui limite le développement de l’enseignement obligatoire dans les régions rurales est le développement économique déséquilibré et le grand écart de l’investissement d’enseignement entre ville et campagne. Par exemple, en 2002, le fond destiné à l’éducation alloué par le budget du gouvernement municipal de Pékin est de 11.834 milliard de yuan, tandis que celui de la province de Qinghai, qui est une province agricole et d’élevage n’est que de 1.578 milliard de yuan. Par rapport à l’enseignement de base, les frais moyens des écoles primaires et des collèges dans les régions rurales sont beaucoup plus bas que la moyenne national. Aujourd’hui, l’informatisation est entrée dans l’enseignement urbain, pourtant beaucoup d’élèves ne connaissent même pas l’ordinateur.

Pour que l’enseignement fonctionne normalement, les écoles rurales qui manquent de frais, elles sont obligées de percevoir des frais des élèves, et cela force les élèves venus de familles défavorisées à ne pas prendre en charge les frais de scolarité et à interrompre leurs études par malheur. En 2003, le taux de déscolarisation des collégiens dans les régions rurales a atteint 5.47%.

Le manque du fonds cause aussi la pénurie du corps enseignant dans les régions rurales. Dans l’école primaire centrale Pan’an du district de Gangu dans la province de Gansu, il y a 1300 évlèves, mais il n’y a que 39 enseignants. A cause de la pauvreté, beaucoup d‘enseignants ont essayé de déplacer, certains ont démissionné et puis changé leurs métiers. A cause de la punérie du curps enseignant, beaucoup d’enseignants donnent des cours de musique, et phisique en plus de cours de chinois et mathématiques. Certains écoles dans les régions montagneuses n’ont que un ou deux enseignants, donc ils sont chargés de cours de 1er année à 6e année, et ils ne peuvent que donner les cours de la langue chinoise et celui de mathématiques.

Pour améliorer la physionomie du retard de l’enseignement