Enrtetien
M.S « Les applications sont importantes, il y a une carte (…) très utile pour enregistrer les données sanitaires du patient. Ce dernier peut utiliser cette carte dans toutes les structures sanitaires où il y a des machines. Cette carte permet d’avoir des informations sur l’état de santé du patient. On y enregistre aussi tout ce qui est information comme décès, c’est comme une banque de données. Donc les applications que l’on a mises en œuvre pour le programme sont d’une importance accrue mais il manque les moyens et les cibles. »
SB Est-ce que ça participe au renforcement des capacités des agents de santé ?
M.S « Ça dépend parce que, comme je te l’ai dit tout à l’heure, c’est temps ci on l’a fait pendant deux jours pour le renforcement des prestataires. Il doit y avoir un programme de renforcement des capacités au niveau des collectivités, mais pour l’instant on fait une formation aux prestataires pour les applications etc. Je ne sais pas où se trouve le problème, mais on n’a pas encore commencé à mettre en œuvre le programme de santé, ce n’est pas encore effectif. »
SB Quelle communication adoptée autour du projet ?
« Bon le partage d’information par exemple le programme de santé vient (…), par exemple on tape un projet, s’ils veulent rencontrer soit l’ICP soit moi, là je suis d’accord pour le projet, soit ils viennent pour des entretiens donc l’information (…). On ne sent pas encore la présence du projet, du programme de santé. Pour moi, il n’y a pas un point focal pour qu’à chaque fois on donne des informations. »
Les appréciations des activités du projet ?
« On a un ensemble d’activités à faire dans lesquelles il y a un renforcement de capacités du personnel de terrain, mais aussi l’installation des applications et tout ça mais actuellement tout ce qu’on avait clarifié au niveau du terrain n’est pas encore en vue de réalisation, peut être au niveau supérieur pour les applications disponibles mais sur