ELECTRE
Tout d'abord, Électre est assoiffée par un désir de vengeance, et un désir de rétablir la justice et de faire éclater la vérité au grand jour, en ce qui concerne le mort de son père. La métaphore de la lumière dans le passage avec les termes "lueur" et "étincelant" exprime la vérité, la pureté et l'éclat. Électre est idéaliste et chez elle, les concepts triomphent sur l'action. Électre désire le vrai et le juste. Elle défend une morale idéaliste. Elle utilise le symbole classique de la pureté. Les valeurs éthiques sont plus importantes pour elle que la politique. Aux yeux d'Electre, le peuple qu'elle voit comme idéal est l'avenir.
Au discours d'Électre, Égisthe oppose une morale pragmatique, qui fait preuve de réalisme, et agit en tant qu’homme politique. Depuis son illumination sur la colline, Egisthe se présente comme un nouvel homme, magnanime et honnête. Il se sent investi d'une mission et connaît une véritable mutation intérieure. Mais malgré cette mutation, Egisthe paraît soumis à Electre vu qu'elle contrôle la situation. On assiste ici à une inversion des rôles, la jeune fille prend le dessus sur l'homme puissant qu'est Egisthe. Aux réponses dures et brèves d'Egisthe, Electre tient un discours passionné développé avec de la poésie. Electre n'écoute pas Egisthe qui éprouve des difficultés à s'imposer.
On en conclut que le conflit est inévitable vu que les deux personnages de cette scène se battent pour des valeurs opposées. L'opposition crée la tragédie car chacun des deux est prêt à tout pour défendre ses valeurs.
Tout d'abord, Électre est assoiffée par un désir de vengeance, et un désir de rétablir la justice et de faire éclater la vérité au grand jour, en ce qui concerne le mort de son père. La métaphore de la lumière dans le passage avec les termes "lueur" et "étincelant" exprime la vérité, la pureté et l'éclat. Électre est idéaliste et chez elle, les concepts triomphent sur l'action. Électre désire