Effet de nuit
I. Une nuit sinistre
1. L'atmosphère inquiétante : mauvais temps, lumières crues, formes acérées
2. Une ville de contes fantastiques : gothique médiéval ou des romans gothiques ?
3. Des sonorités «déchiquetées» : phrases brèves, [i], [è], [ou], [l], [k], [t]
II. Le bal des pendus
1. Une vision morbide : surenchère dans l'horreur, le macabre, 4 détails en gradation
2. Une danse d'épouvante : humour noir ? ballet fantastique, très vieux
3. Des sons d'horreur : [p] et [b], [k], [d] -- [an], [a], [è]
III. Une nature effroyable
1. Des plantes à piquants : épine et houx ; « horreur » = hérissé en latin
2. Rareté des végétaux : une nature désolée, chaotique, sombre, « fuligineux fouillis »
3. Toujours sons heurtés : [k], [p], frisson du [s], brouillage du [f]
IV. Une scène de cauchemar
1. Trois malheureux qu'on traîne au supplice ? « Livides », « pieds nus », encadrés.
2. Des soldats inhumains
3. Un mouvement arrêté
Extrait du document:
Le tableau est nocturne, moment traditionnel du climat fantastique, mis en valeur par la