Ecriture d'invention sur pauline, d'alexandre dumas
Mon cher Alfred, vous ne pourriez savoir dans quel état je fus quand Mme de Lucienne demanda ma main à ma mère. Je n’avais rien contre le comte Horace mais je ne savais vraiment pas quels sentiments j’éprouvais envers lui. C’était une sorte de peur et de respect mais je savais qu’il n’y avait aucune raison pour que j’eus eu peur de lui. Je pensais que ce fut juste cette pâleur et ce calme très froid qu’il possédait.. Apres cette demande, je fus très surprise et j’était sur le point de m’évanouir tant le choc fut grand mais je me contins. Ma mère ne me parla point de se sujet le soir au dîner mais au contraire, elle me demanda s’il y aurait un bal bientôt, ou si j’avais aimé le dîner. Une semaine passa sans aucune réponse de ma part et les personnes qui m’étaient proches furent très confus car je n’avais jamais été le type de personne à faire attendre les gens, j’étais tous le temps pressée ; de plus, Horace faisait pression sur Mme de Lucienne qui attirait l’attention de ma mère indirectement à ce sujet quand elle nous rendait visite. Une semaine passa mais les idées n’étaient toujours claires dans ma tête. Le samedi, une semaine après la demande, ma mère avait perdu sa patience et me parla à propos du sujet. Je lui affichai mes sentiments et je pleurai autant ma confusion fut grande. Ma mère, fit ce qu’une mère ‘‘normale’’ aurait fait, c'est-à-dire elle me prit dans ses bras et m’embrassa puis me dit de prendre mon temps, que si je ne voulais pas Horace il fallait juste que je le lui dise sans crainte car après tout elle était ma mère. Ce ne serait pas un problème. Je ne savais vraiment pas mon cher Alfred quelles émotion j’avais envers cette personne mais ce fut des sentiments que je ressentait pour la première fois de ma vie. Deux semaines passèrent et toujours aucune réponse réelle de ma part. Un dimanche, la porte sonna mais il n’y eu personne pour ouvrir la porte car tous les serviteurs étaient en réunion avec ma mère qui choisissait