Ecriture personnelle
Le fait d’être ordonné ou de ne pas l’être est il fondamental en soit !
Pour nous aider dans notre réflexion deux textes, une interview et un document iconographique nous sont proposé :
Deux d’entre eux sont des textes, le premier « Un désordre, un mal nécessaire ? » de Dominique de Greef publié dans le Monde de l’éducation datée de mars 2006, l’autre, écrit par Thierry Jonquet « La Bête et la Belle » en 1985 publiée aux Éditions Gallimard. Les deux autres documents traite du désordre sous des formes différentes : Une interview d’Éric Abrahamson réalisé par la journaliste Catherine Mallaval pour le journal Libération le 3 Mars 2008,pour enfin finir sur une illustration intitulé « Stock » en 2007.
Ces documents conduisent alors à se demander si l’ordre est il toujours une contrainte ?
Pour tenter de comprendre cette contradiction apparente, il conviendra d’analyser ce qui contribue à ce que l’ordre soit une contrainte, à ce que l’ordre n’en soit pas une contrainte, puis nous tirerons des conclusions aux regards de cette analyse avec l’impact que l’ordre peut avoir sur les générations.
Tout d’abord que signifie l’ordre ? L’ordre dans ce dossier se définit comme le rangement d'une maison, d'un appartement ou d'un jardin…
C’est ainsi que l’ordre pour certaines personnes peut être une contrainte.
Parce qu’il ne laisse pas de place à la créativité, à la spontanéité, ranger pour ces personnes apparaît comme une action qui n’est pas naturelle, consommatrice de temps qui freine la convivialité et qui peut leur paraître néfaste pour leur bien être. L’ordre nécessite pour ces personnes de se « faire violence » en dehors de leur manière de vivre. Elles vivent cette obligation du rangement comme une règle qui ne leur laisse pas le choix de faire ce qu’elles veulent quand elles veulent.
Au final, l’ordre est perçu comme une contrainte.
À contrario, pour certains l’ordre est indispensable à leur bon fonctionnement. Car pour eux c’est une