Développement durable
- Répondre aux pressions et sollicitations extérieures, telles que celles :
• des consommateurs, plus exigeants et mieux organisés qu’auparavant, qui s’informent sur la traçabilité des produits qu’ils achètent (d’où proviennent-ils, dans quelles conditions ont-ils été fabriqués ?...),
• des groupes d’opinion : les ONG (Organisations Non Gouvernementales) et les associations qui peuvent, au travers du concept de D.D, informer et interpeller le public,
• des investisseurs : ils sont de plus en plus sensibles au comportement des entreprises lors de leur choix d’investissement,
• des gouvernements : ils revendiquent leur implication dans le développement durable.
- Anticiper l’avenir :
Il s’agit notamment d’anticiper les risques prévisibles (hausse du prix du baril de pétrole, réchauffement climatique…)
Dans le domaine énergétique, il s’agit notamment de rechercher et de favoriser des sources d’énergies renouvelables, moins chères et plus accessibles.
- Réduire ses coûts :
En adoptant une meilleure gestion, le dirigeant peut réduire ses coûts énergétiques, ses coûts de production ou encore ceux liés aux matières premières et à la gestion des déchets ; l’engagement dans une démarche de D.D permet d’économiser de l’argent et d’améliorer sa productivité.
- Détenir un avantage concurrentiel :
La notion de D.D incite à l’innovation et permet à la structure de se démarquer de la concurrence (mise en place de processus originaux, création de nouveaux produits).
- Améliorer son image de marque :
En adhérant aux valeurs du D.D, telle que la transparence, la structure protège sa réputation et son image à long terme, améliore ses relations commerciales et fidélise ses partenaires commerciaux.
- Assainir les relations internes :
Les valeurs d’équité, de transparence, de partage et de solidarité que véhicule le développement durable peuvent mobiliser et motiver le personnel, susceptible alors de