• Périphéries = Elles sont reliées au(x) centre(s) par les réseaux mais souvent mal reliées entre elles. Elles sont peuplés et exploitées, et se spécialisent : dans les fonctions d’exécution dans les activités génératrices d’externalité négatives (aéroports, industries bruyantes ou polluantes) et de risques dans les activités les plus consommatrices d’espace.
Les périphéries spontanées constituent les seules solutions pour les pauvres de se loger durablement à moindre coût. Ses quartiers pauvres périphériques atteignent 1 extension énorme palliée avec l’importance de la population urbaine. Horizontalité du bâti et la plupart de ces périphéries ont pu être qualifié de spontanée car construite sans planification de l’espace, ni aménagement et parfois en toute illégalité sur des terres périurbaine. Ce ne sont presque jamais des bidonvilles, elles sont composées de minuscules maisons individuelles, de brique et de parpaing mais sans confort moderne.

• agglomération = définition morphologique de l’urbain qui repose sur la continuité du bâti (sans véritable discontinuité) entre une ville centre et ses banlieues.

• ville-centre = commune la plus peuplé dans 1 agglomération d’organisation monocentrique dont elle est la source et qui lui donne son nom.

• friche urbaine = terrain laissé à l’abandon en milieu urbain en attendant 1 réemploie hypothétique.

• Bidonville = Matériaux de récupération. En majorité dans parties centrales des agglomérations cad près des zones d’emploi précaire (usine, port) et se trouvent dans des lieux dangereux. Ils sont intra-urbains. Période de bidonville va durer jusqu’à ce qu’il y ait stabilité de l’emploi.

• mobilité = capacité de mouvement dans l’espace concernant les populations et leurs gestions de l’espace. Condition fondamentale de l’existence et de la vie des villes qui ne fonctionnent que si elles sont accessibles. Problème de mobilité lié à l’étalement de la ville, générant des phénomènes de saturation et