Dynamique de groupe
L’établi DE ROBERT LINHART
Dans se chapitre l’auteur montre son exaspération, en effet il repense au 4 mois qu’il a vécu au sein de l’usine et qui ne lui on rien apporté « Qu’ai-je fait d’autre, en quatre mois que des 2 CV ». Il fait le point et remarque que l’idée révolutionnaire qu’il avait de l’usine était fausse. Dans un premier temps l’auteur montre que les ouvriers ne forment pas un seul et même groupe mais ne se côtoie que par le hasard des rencontres et qu’il était donc difficiles de créé des liens avec des personnes aillant les mêmes objectifs. Il s’aperçoit que les ouvriers ont tous des histoires différentes avec leurs sources de problèmes, et que même si leurs envi d’une autre vie plus riche les unis ils n’ont pas le temps de le partager. Alors que la misère de leurs travaux et les conditions dures le perturbe il se demande comment trouvés « une prise », quelqu’un à qui il pourrait se rattacher et qui aurait comme lui la force de se battre. Par la suite il énumère quelques un de ces amis et collègues, Christian et ses problèmes de familles, Sadoc et ses problèmes de logement etc. A qui il parle de la grève et des améliorations faite dans d’autre usine.
L’auteur se pose la question pourquoi personne n’agit ? Et par la suite donne une explication en plusieurs points. Tous d’abord le travail qui fatigue énormément et qui ne donne pas la possibilité au ouvriers de parler entre eux, ensuite il y a le temps qui pour eux est très rare et l’auteur ne veut pas leurs prendre, et enfin la peur qui pour lui est difficile à définir. Pour lui elle fait parti de l’usine, des moyens de pressions et de surveillance qui ne laisse aucun répit aux ouvriers. La peur de se faire licencier ou de se faire mal avec les machines par une faute d’inattention « frayeur du grain de sable ».Cependant l’auteur ressent comme même une certaine résistance de la part de ces collègues, quand les immigrées murmure dans leur langue natale pendant les