Première Partie
1) Montrez comment les consommateurs peuvent être sous influence des techniques de communication publicitaires.
Ce texte présente la communication comme l’élément générateur de la décision de l’achat.
Pour parvenir à cela, plusieurs manières y sont évoquées. La communication affecte le comportement du consommateur par des informations anodines, par le biais d’éléments atmosphérique (cadre, musique, ambiance) ou par la nature des relations sociales (contact entre le client et le vendeur). Ces moyens relevés par le texte sont principalement leurs capacités à susciter des émotions et provoquer des évaluations positives chez le consommateur. Si ces techniques fonctionnent alors le consommateur achète en plus grande quantité que ce qu’il avait initialement prévu et développe une fidélité vis à vis de la marque. Les techniques de communication publicitaire engendrant des émotions positive chez le consommateur s’aident des expériences de Freud devant l’hystérie. De fait, elles vont chercher à s’appuyer sur le « ça » afin de susciter et de satisfaire le plaisir du consommateur. Tout est mis en oeuvre pour supprimer les limites du raisonnable et, pourquoi pas, braver les interdits. Elles cherchent également à casser les codes moraux et cherchent à faire interagir les pulsions et les instincts du consommateur en s’appuyant sur le « sur-moi ». Le vendeur a intérêt d’entretenir cet environnement social agréable avec ses clients pour leur ôter la raison et la culpabilité face au bien ou au service consommable, ceci en leur démontrant que ce produit est fait pour eux et qu’il est en quantité limité.
Pour reprendre le texte, il s’est avéré que le matraquage publicitaire ne plaisaient pas aux consommateurs : « trop d’information tue l’information ». Ainsi, la « simple exposition » proposée par Zajonc en 1968 a fait ses preuves et persiste aujourd’hui. Elle consiste à présenter le produit le plus simplement possible, avec son prix. Le produit est généralement placé