Droit et morale
En premier lieu, nous sommes amenés à penser que toutes deux peuvent être vues sous le même angle. C'est à dire que nous pourrions ne les distinguer ou encore ne pas voir les frontières entre ces deux entités. Seulement, notre conscience réfléchie, qui nous permet de nuancer les affirmations de notre conscience spontanée, nous amène à différencier les deux. Ainsi, cela soulève un problème dans quelle mesure peut-on rapprocher droit et morale, voire même ne pas les dissocier. Cela nous conduit à nous poser trois questions inhérentes au plan du sujet peut-on voir la morale et le droit sous le même angle, c'est à dire considérer l'un comme l'autre et inversement? Doit-on distinguer, faire la différence entre ces deux notions? Ou encore, celles-ci tout en étant différent, peuvent elles avoir des champs d'action communs? Pour apporter réponse à cette dernière interrogation, nous devrons faire appel à notre conscience morale, qui telle un juge nous permettra d'arbitrer le débat. Elle statuera sur les conclusions de la conscience réfléchie pour rendre son verdict, sa sentence qui constituera la clef du devoir et qui permettra d'obtenir une réponse élaborée par les trois strates de la conscience. Deux notes de musique peuvent être issues du même instrument alors qu'elles sont différents. Elles ont ainsi une même origine l'instrument. Lequel, selon comme il joue fait que les lois de la morale et ceux du droit seraient plus ou moins éloignées. Qui ferait que les caractéristiques des notes seraient plus ou moins éloignées.
Développement
I) A première vue, il ne faudrait pas les distinguer
a) En effet, elles sont constituées de lois
b) Le droit subjectif est le droit propre à chaque individu, il est comme la morale, personnel. Ainsi, la morale est comparable au droit subjectif
c) Dans un monde idyllique, où v(i)ols et autre méfaits seraient inexistants, les sujets auraient leur lois morales en adéquation totale avec celles