dm francais
2) Le mètre utilisé est l’alexandrin (douze syllabes).
De/puis/ long/temps/ leurs/ dés/ a/vaient/ é/té/ je/tés
Dès/ que/ la/ main/ re/tombe/ il/ ne/ reste/ qu’une/ om/bre
3) Dans le premier vers les rimes sont suivies (AA BB..) et dans le deuxieme vers elles sont croisés (ABAB).
4) Elle fait référence à la déportation pendant la deuxième guerre mondiale. En effet, les allusions à la solution finale sont claires… la situation des mots : Nus, maigres, tremblants, et wagons plombés.
5) Les autres référence sont : « Ils n’arrivaient pas tous à la fin du voyage » se qui fait référence aux mort dans les wagons a bestiaux avants d’arriver aux camps. « Les Allemands guettaient du haut des miradors » il fait référence aux grandes tours où les allemands regardaient le « trafic » vérifiant que personne ne s’échappe. « Ils ne devaient jamais plus revoir un été » il dit que l’objectif était clair pour les allemands : les déportés devaient tous mourir. « Ils s’appelaient Jean-Pierre, Natacha ou Samuel » il fait la liste des genres de personne envoyé dans ces camps :
Jean-Pierre nom français peut rapporter a un résistant, un opposant au régime nazi, ou des personnes qui cachent des juifs ; Natacha nom russe qui fait référence a l’URSS, au communisme les ennemis des nazis et Samuel nom juif traités comme des sous hommes.
6) Il y a : « Ils se croyaient des hommes, n’étaient plus que des nombres » ; « Ils ne devaient jamais plus revoir un été » ; « Ils voulaient simplement ne plus vivre à genoux » ; « Votre chair était tendre à leurs chiens policier » ; « Ils n’arrivaient pas tous à la fin du voyage » et « Qui déchiraient la nuit de leurs ongles battants »
7) Que la déportation touchait tout le monde : catholique, juifs, tsiganes, indous, russes, français… et que ceux qui n’avait pas de religion voulait mettre fin à se supplice.
8) De la ligne 1 à 20 le texte est mené à la troisième personne du singulier.
9) Dans cette