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Quatrième partie du discours de la méthode.
Dans ce texte Descartes cherche à élaboré une nouvelle science qui est la sienne. C'est-à-dire le doute méthodique. Descartes ne nous fais pas une leçon, il nous rend compte de son expérience, il explique sa pensée et sa méthode.
D’après Descartes le comportement social que l’on acquit en suivant les mœurs n’est pas la chose à faire. Il comprit que pour acquérir une vérité, il doit remettre en doute ce comportement. Le fait de se consacrer à ces mœurs « normales », l’étonne. Est-ce que finalement ce comportement est-il le bon ? Il est de même pour les sens, il est déjà arrivé que les sens nous conduise à l’erreur, il est donc impossible de baser sa passée sur quelque chose qui peut nous induire en erreur. De même pour le travail intellectuel, nos démonstrations peuvent être fausses donc on doit les rejeter. La seule chose dont Descartes ne peut pas douter c’est qu’il ya quelque chose en moi qui doute. C’est sur ceci qu’est basée sa pensée « je pense donc je suis », « cogito ergo sum ».
Puisque la vérité provient du cogito Descartes pense qu’il existe deux substances. L’esprit donc le sujet (le cogito) qui est une substance qui pense et l’objet donc le corps. Cette différence de ces deux substance s’appel le dualisme. Descartes fait une thèse dualiste, il dit que les dommages du corps n’ont aucuns effets sur l’esprit et vis versa. Car il y a bien deux substance non liées, une substance étendue (le corps) et une substance pensante (la pensée), mais l’un fait l’identité de l’autre. Car ce qui fait l’identité de notre substance étendu c’est que c’est une substance pensant. Ce qui fait que l’homme est c’est qu’il pense.
Dans ce texte Descartes tien à préciser qu’il ya une certaine méthode afin d’analyser une vérité. Lorsque que l’on a une hypothèse en sa possession, il faut l’analyser et connaitre ses critères. Les critères sont la clarté et la distinction. Par ces