Dixxx
Le modèle logique des données
Il est aussi appelé modèle relationnel. On emploie souvent l’abréviation suivante : MLD : Modèle logique des données Et quelquefois, les abbréviations suivantes sont employées : MLDR : Modèle logique de données relationnelles MRD : Modèle relationnel de données MLRD : Modèle relationnel logique de données Le MCD ne peut pas être implanté dans une base de données sans modification. Il est obligatoire de transformer ce modèle. On dit qu’on effectue un passage du modèle conceptuel de données vers le modèle logique de données. Le MLD pourra être implanté dans une base de données relationnelle.
Règles de passage du MCD au MLD :
Règle numéro 1 : a) Une entité du MCD devient une relation, c’est à dire une table. Dans un SGBD de type relationnel, une table est structure tabulaire dont chaque ligne correspond aux données d'un objet enregistré (d'où le terme enregistrement ) et où chaque colonne correspond à une propriété de cet objet. Une table contiendra donc un ensemble d’enregistrements. Une ligne correspond à un enregistrement. Une colonne correspond à un champ. La valeur prise par un champ pour un enregistrement donné est située à l’intersection ligne-colonne correspondant à enregistrement-champ. Il n’y a pas de limite théorique au nombre d’enregistrements que peut contenir une table. Par contre, la limite est lié à l’espace de stockage. b) Son identifiant devient la clé primaire de la relation. La clé primaire permet d’identifier de façon unique un enregistrement dans la table. Les valeurs de la clé primaire sont donc uniques. Les valeurs de la clé primaire sont obligatoirement non nulles. Dans la plupart des SGBDR, le fait de définir une clé primaire donne lieu automatiquement à la création d’un index. c) Les autres propriétés deviennent les attributs de la relation. Exemple :
CLIENT numClient nom prénom adresse
CLIENT(numClient , nom , prenom , adresse)
Règle numéro 2 : Une