Dissertation philosophie
« Perdre son temps » est une expression couramment utilisé par l'homme, mais qui nous fait nous interroger sur les implications de cette formulation. Nous allons tout d'abord nous interroger sur le caractère de cette perte de temps, et comment peut-elle être caractérisé.
Pouvons nous qualifier cette perte de temps de nécessaire ? Cette perte n'est-elle pas propre au présent ? Le présent étant le seul temps de l'action pour l'homme, contrairement au passé et à l'avenir, comme nous l'explique Pascal (dans son œuvre Pensées) ou encore Nietzsche dans son œuvre Considérations inactuelles, le passé incitant à la mélancolie, et l'avenir incitant au dégoût. Si l'homme « perd son temps » et plus particulièrement son présent (qui devient alors rapidement un présent éloigné, puis un passé), cela pourrait être caractérisé de nécessaire. Tout d'abord, lorsque l'homme se rend compte qu'il a « perdu son temps », cela lui permet de se rendre compte que le temps passe, qu'il ne l'attend point, et qu'il continue à « avancer » même si l'homme n'en profite pas pour l'employé correctement. Cettt de perte permet donc à l'Homme de prendre conscience de temps et que celui-ci passe. Cela permet également à l'Homme de faire attention à l'utilisation qu'il fait du temps, de « son » temps. En effet, que se dit un homme lorsqu'il se rend compte de son erreur ? Que ce temps, qu'il a perdu, a été simplement mal utilisé. Car ce temps qui est perdu aura pourtant été vécu, mais il aura simplement été mal employé, dans un but différent que celui qui était fixé au départ. Cela insitera alors l'Homme a mieux géré son temps, l'occupant du mieux qu'il le peut. Cette perte de temps nous permet également de prendre la responsabilité de notre temps, de l'occuper correctement. La perte de notre temps peut être cosnidéré comme nécessaire, permettant à l'Homme de prendre conscience du temps et ainsi,