Dissertation de philosophie
« Il faut apprendre à tirer de tout, non pas le vécu pour plus tard mais la vie pour maintenant. »
Aldous Huxeyl, dans les portes de la perceptions nous livrai comme problème emblématique du partage de l’expérience celui du faussé inconnu qui sépare les êtres : « Il n'y a vraiment rien à discuter dans cet enseignement ; toute discussion ira certainement à l'encontre de son intention. Les doctrines qui s'adonnent à la dispute et à l'argumentation conduisent d’elle-même à la naissance et à la mort.»
Au monde complexifié, la vérité est loin d’être à ses pieds, les mots les plus simples la crayonnent pour tous Homme mais chacun d'eux se pardonne de vouloir la voir dans un détail humanisé. Si elle se rend difficile d’accès selon les dons des nues , désignable parmi les préceptes flous de ceux qui croient juste, s'il est permis de la voir seulement avec des moyens diffus et répétés, ou encore si elle parait accessible par quelques efforts d'extrapolation ou de lutte contre soit-même c'est qu'elle n’était pas vérité.
La vérité est nue et c'est pour cela que tout homme peut la porter et qu'elle peut aller à tous ceux qui voudrons bien s'y laisser guider. Comme une seconde peau qui d'un seul geste nous rendrait l'illumination de la béatitude, elle ôterai du même coup notre manteau d'homme frileux et conceptualiste, elle nous tuerait de tout et pour ceux qu'on s'était pris à être mais nous arracherais au temporel pour nous offrir comme éternité le moment sublime du passage transcendantal marquant de départ et l'accomplissement d'une seconde vie d'Homme.
Si la vérité avait un jours était décrite comme cela, tous le monde se serrait mis à chercher.
Ici bas son voisin terrestrement assimilé : réalité, n'en demande pas temps. En effet il requiert moins de vacuités folles et éveillatrices qu'il n'est besoin de temps pour s'en faire une idée. La réalité se trouve être mise au centre du globe comme l'évidence