Le chemin de la vérité s'emprunte-t-il dans un chemin enneiger ou bien dans un chemin complètement sec? Doit-il y avoir des courbes ou bien doit-il être un bout droit sans obstacle? Nous observons dans la vie quotidienne des faits qui sont indépendants de nos opinions, de nos goûts et de notre imagination. Ces faits que nous observons de façon rigoureuse et attentive, nous pousse à croire qu'ils sont qualifié d'objectifs donc vrais. Pour qu'il soit vrai, il faut que l'énoncé soit universelle pour chacun de nous et ce avec le moins d'observation possible. Selon Platon, il y a deux monde: le monde intelligible et le monde possible. Nous voyons un objet ou situation par une activité de perception qui fait en sorte que nous avons une copie mentale de l'objet ou de la situation en question. Par la suite, nous, tout dépendant, des principes ou nos connaissance réflexible c'est l'Idée. Selon Aristote, le chemin de la vérité serait plutôt par un procédé d'induction qui parvient à une loi général pour finalement utiliser un procédé de déduction pour enfin arriver à une conclusion donc la vérité recherché. Alors quel chemin la recherche de la vérité devrait telle emprunter? Selon moi, le chemin de la recherche de la vérité est emprunter par la logique aristotélicienne plutôt que l'idéalisme platonicien. Dans les paragraphes suivants la logique aristotélicienne d'induction et de déduction vont vous être parler.
Le chemin qu'emprunte la vérité est par la logique aristotélicienne. Par des procédés d'induction et de déduction nous pouvons arriver au chemin qu'emprunte la recherche de la vérité. Aussi, avec le procédé de déduction nous avons les syllogismes avec les quels nous pouvons construire la validité d''un énoncé. Cependant, il est faux de penser que les syllogismes sont valide pour toutes les situations, car parfois la conclusion de la vérité est logiquement acceptable, mais est incertaine et ce pour nous convaincre qu'elle est véridique.