De la certitude
Ludwig Wittengstein, De la certitude
Le thème du texte est la certitude comme l’indique l’œuvre de Luwig Wittenstein : De la certitude.
L’auteur défend la thèse suivante : notre savoir est constitué à la fois de préjugés et d’opinions appuyés du fait que « nous y ajoutons foi ». Sans en être absolument sûr car cela mériterait témoignages, recherches et autres fonctions, nous admettons des « faits » admis par l’école, nos parents ou des amis par abus de confiance en l’être humain généralement… Par conséquent, comme le dit L.W dans la dernière phrase on est aveuglé par ces croyances fondées en quelque sorte arbitrairement.
Ainsi, la thèse qui s’oppose est : nous nous basons sur des croyances fondées par de multiples témoignages, enquêtes et d’études qui prouvent qu’elles sont vraies et que l’on doit les admettre.
« Je crois qu’il ya une île, l’Australie, qui a telle forme, etc.., je crois que j’ai eu des aïeux, que les gens qui se donnaient pour mes parents étaient réellement mes parents.. » « L’enfant apprend en croyant l’adulte »
« J’ai appris une masse de choses, je les ai admises par confiance en l’autorité d’êtres humains, puis au cours de mon expérience personnelle, nombre d’entre elles se sont trouvées confirmées ou infirmées. »
« Ce qui est écrit dans les manuels scolaires, dans le livre de géographie par exemple, je le tiens pour vrai. »
« Même si nous vérifions, nous prenons déjà ce faisant quelque chose que l’on ne vérifie pas »
« Un enfant pourrait dire à un autre : « Je sais que la Terre est vieille de plusieurs centaines d’années » et cela voudrait dire : Je l’ai appris.
Croire : tenir quelque chose pour