Dissert
l.3 « Les lanternes éclairent les talus, une frange de fougères, la base des pins géants. » énumération.
l.5 « détruisent » hyperbole.
L.5-6 « Parfois passe une charrette et les mules d’elles-mêmes prennent la droite sans que bouge le muletier endormi. » Rythme 2x alexandrin
l.11 « (telle est la route qu’aucune auto n’oserait s’y engager la nuit) » Détail entre parenthèses qui insiste sur le fait que la route n’est pas rassurante, pas fiable.
l.25-26 « dans l’épaisseur obscure des pins […] » oxymore l’épaisseur des pins ne peut pas être obscure.
2) La voiture
l.1 « Cette odeur de cuir moisi […] Thérèse l’aime. Le goût de la femme permet à l’auteur de décrire la voiture.
l.25 « calèche cahotante » Allitération ‘c’ + 2 termes antithétiques ? calèche = noble / cahotante = secouent, mauvaise qualité
3) L’héroïne
l.16 « sa petite tête blême et ballotée » zeugma blême et ballotée n’ont pas de rapport. Blême = angoissée et ballotée = à cause des mouvements de la voiture.
l.18 « Joues creuses, pommettes, lèvres aspirées, et ce large front, magnifique, composant une figure de condamnée. » énumération, opposition magnifique ≠ condamnée
l.26-27 « une jeune femme […] caresse doucement […] sa face de brûlée vive. » métaphore (visage marqué, choqué) elle se présente comme une victime
I. Les sentiments et pensées de Thérèse.
1) L’angoisse de Thérèse
l.13 « Thérèse cède à cette imagination qui l’eût possédée […] » le verbe est hyperbolique
l.15 « l’attente du tremblement de terre. » métaphore le jugement est comparé à un tremblement de terre (redoutable, voir mortelle)
l.17-18 « Elle avait vécu […] d’être traquée ; maintenant que la voilà sauve » le verbe traqué la représente presque comme un animal + opposition des mots traquée et sauve
2) L’épuisement
l.11 « en carriole. » désigne une simple charrette. Péjoratif ?
l.7-11 de « Il semble à Thérèse qu’elle n’atteindra jamais Argelouse » à «