Diser
L’auteur nous transporte dans un monde antiromantique car Benoist, acteur principal, ressent une forte attraction physique plutôt que de l’amour. Sans avoir bien vu la face et en apercevant son postérieure, il éprouve des sensations fortes et tombe amoureux de Victoire : « Lui, Benoist, ne voyait que son dos ; mais il connaissait bien le visage qu’elle avait, sans qu’il l’eût cependant jamais remarqué plus que ça» (p.7). Cet extrait montre la banalité d’un coup de foudre qui est totalement diffèrent de celui de Vladimir dans le livre «Premier amour» de Tourgueniev, car il ne suffit pas d’un simple regard, comme le fait Benoist, mais Il aurait fallu montrer beaucoup plus de d’admiration de sa bien aimé. Le physique de Victoire-Adélaïde semble être très frappant aux yeux de Benoist, à tels point, qu’il semble pris dans ces émotions. À défaut de ne pouvoir mettre des mots sur ces sentiments, une phrase s’empare de lui : « Pour une belle fille, c’est une belle fille» (p. 7, 8). Cette phrase qui se répète à plusieurs reprises montre un Benoist peu cultivé et subjugué par cette attirance physique. De plus, après avoir rencontré «La Martine» plusieurs fois, le héros