Denis Diderot ­ Jacques Le Fataliste et son maître XVIII 1765­1784
INTRODUCTION :
Présentation de l’auteur : Philosophe des lumières et libre­penseur, Diderot s’est essayé pour transmettre ses idées, à différentes formes littéraire, encyclopédie, théâtre, discours, dialogue. Présentation du texte : Cette extrait débute par une remise en question du genre romanesque dans le texte le narrateur refuse de répondre au question du lecteur et dans le dialogue la présentation du texte qui fait apparaître le nom des personnages s’apparentent d’avantage au théâtre qu’au roman LECTURE A HAUTE VOIX DU TEXTE : Problématique de l’examinateur. Plan : I)Renversement des valeurs
1)La domination de Jacques dans le dialogue
2)L’autorité du maître II) Une scène cocasse
1) Un récit de bataille farfelu
2) Une rencontre farfelu ANALYSE :
I) 1) Répliques de Jacques beaucoup plus longues que celle de son maître. Il se permet de le contredire (l­16) . C’est lui qui raconte son histoire, le maître l’écoute ( 1er pers.)
Dans sa dernière réplique il délivre sa moral fataliste en ayant le dernier mot 2) Autorité du maître est perceptible ­ désigné par son statut social, tutoie son valet (l­15). Jacques le vouvoie et l’appelle “monsieur” Le maître semble s’amuser par son valet et n’exerce pas de réel autorité sur eux. II) 1) Registre comique qui domine l’extrait Accumulation de verbes d’action au présent de narration “on se sauve”, “on est poursuivi”, “ chacun pense à soi “ qui parodie le registre épique. Le valet utilise une hyperbole = le nombre de mots est prodigieux. Les interjections et modalités exclamatives renforcent cette théâtralité du discours. 2) Rencontre rythmé; emploi des temps qui dynamisent le récit. répétition du verbe “démontré” 7x =
2nd partie = effet d’insistance. On ne sait pas à qui s’adresse le “monsieur à raison “ de l’intervention du chirurgien. CONCLUSION :
Le personnage de Jacques