Denouement tragédie
= quel qu’il soit, c’est un RETOUR à un ORDRE ; il dénoue une situation initiale qui s’est compliquée par des péripéties ; il résout les contradictions, apporte une solution et intervient quand les obstacles ont été supprimés.
Le dénouement ROMANTIQUE joue souvent sur la REVELATION de qqch d’ignoré jusque-là.
Le dénouement MODERNE joue souvent sur un « RECOMMENCEMENT FINAL » cô le dit IONESCO.
Le dénouement CLASSIQUE doit être « NECESSAIRE, COMPLET, RAPIDE » et ferme la boucle des événements.
le BILAN de la situation est la 1° chose à faire. On doit aussi indiquer la place du dénouement dans la composition générale de l’œuvre. Rapports avec la scène d’EXPO ? « catastrophe » ?
LA THEORIE CLASSIQUE 1. Obligation du vraisemblable ordinaire
= nécessité par la logique de l’enchaînement des événements mis en scène ; le vraisemblable impose que les événements soient représentés, mais qu’ils ne suscitent pas l’incrédulité du spectateur ou une réaction de rejet.
2. Une dialectique du « visible et de l’invisible » ; 4 possibilités dramaturgiques : 4. l’événement se passe HORS de SCENE et SIMULTANEMENT à l’ACT° REPRESENTEE ; 5. l’événemt se passe EN SCENE PENDANT L’ENTRACTE ; 6. l’événemt se passe HORS de SCENE PENDANT L’ENTRACTE ; 7. l’événemt se passe EN SCENE ( Phèdre meurt sur scène de mort lente)
3. La BIENSEANCE est indissociable de la vraisemblance
= elle ne se confond pas avec elle, mais elle fait partie de « l’horizon d’attente » du spectateur de cette époque et est constitutive d’un certain nombre de CONTRAINTES. (trop grde violence, mort violente...)
LA RHETORIQUE DU DISCOURS la TIRADE est organisée strictement selon les lois de la rhétorique classique, le plan rhétorique est composé de 4 PARTIES : 1. l’EXORDE, qui a pour fct° de susciter la bienveillance de l’auditoire ; 2. la NARRATION, l’exposé des faits, le récit ; 2. la