Debat avortement
Arguments :
1. Des bébés avortés après 18 semaines survivent et sont tués par injection d'un poison à base de potassium injecté dans le coeur du foetus.
2. L'avortement sélectif fait des ravages : les petites filles sont éliminées, en Inde ,mais aussi aux Etats Unis (pourquoi pas en Europe?).
3. Des milliers de couples ne peuvent pas avoir d'enfants. Il sont alors aidés par la science pour procréer malgré leurs problèmes (plus de 40000 chaque année), ou veulent adopter (plus de 30000 couples).
4. Très nombreux risques physiologique et psychologiquesIl ne faudrait pas penser que l'IVG est une opération indolore. Même si, du moins en France, il est quasi-interdit d'en parler, l'avortement comporte de très nombreux risques physiologique et psychologiques. Les chiffres qui sont donnés ci-dessous proviennent de nombreuses études scientifiques Américaines, Canadiennes, Anglaises, Finlandaises etc.. Approximativement 10% des femmes qui ont fait une IVG souffriront de complications physiques immédiates diverses. Les IVG sont associées à un abaissement du niveau général de la santé. Ainsi, pendant la première année qui suit un avortement, les femmes consultent leur médecin de famille 80% plus pour raisons physiologiques, et 180% de plus pour raisons psychologiques. Enfin, une étude suédoise révèle que le taux de mortalité associé à l'avortement est de 40 décès pour 100 000 avortements, soit un taux deux fois supérieur à celui de l'accouchement, dû principalement au taux augmenté de suicide.Cette page est dédiée exclusivement aux risques physique. Mais il existe aussi (malheureusement) des risques psychologiques importants connus sous le nom de traumatisme post-abortif.
Contre-arguments : - L'IVG, c'est aussi pour le bien de l'enfant : Il est fréquent d’entendre argumenter que l’IVG est « un bien pour l’enfant », que « c'est mieux d'être désiré ». Que la suppression du fœtus est finalement un bien pour ce dernier, car sa vie n’aurait été