Dc2 amp le petit déjeuner
Thomas est un adolescent de 16 ans (19/10/1996), Thomas est accueilli dans des établissements spécialisés depuis sa première année. Il est entré en internat de semaine dans l’établissement le 24/10/2005. Sa maman est décédée et il n’a plus de contact avec son père et sa grande sœur. Le week-end et les vacances il est en famille d’accueil. Thomas a les yeux marron, les cheveux châtain, mesure 1m46 et pèse 40kg. Un hématome sous dural survenue entre sa naissance et ses trois mois a entrainé une déficience mentale, une hémiparésie gauche. Au niveau de ses antécédents médicaux, il y a l’épilepsie, des clonies des extrémités et une forte scoliose. Son épilepsie est stabilisée. Thomas n’a aucune autonomie pour les déplacements, il est en fauteuil roulant manuel + coquille moulée station assise. Il a une acuité visuelle faible et une vision périphérique. Thomas n’a aucune autonomie pour les repas, il mange mixé ou écrasé, il boit au biberon de l’eau épaissie ou gélifiée, il a un régime anti-flatulence. Thomas n’a pas de code oui/non, il n’a pas de communication verbale, mais il exprime ses émotions par des mimiques, des postures, des sourires ou des cris. Cependant, Thomas a l’ouïe très développée, il est amateur de musique rythmée.
La situation :
Le petit déjeuner est le premier repas de la journée. C’est un moment important de la journée qui peut définir l’humeur de la journée chez certain jeune. Sur mon groupe le petit déjeuner est un moment où il n’y a pas d’habitude journalière car selon les éducateurs il sera différent et bien sur aussi selon ce que nous disposons (céréales, quatre-quarts, jus, fruits, gâteau, yaourt, compote, fromage…).L’équipe pense qu’il n’est pas obligatoire que les jeunes aient le même petit déjeuner tous les matins, car ils sont des goûts qui peuvent varier selon les jours (tantôt sucré tantôt salé).
La mise en œuvre :
Je vais vous présentez par étape le déroulement de cette situation et j’analyserais