Dans la solitude deschamps de coton
«Dans la solitude des champs de coton» est composé que d’une seule et unique scène dans laquel on assiste à la rencontre et à la discussion des deux seuls personnages. Cela commence par un malentendu. Le dealer, pense que si le client se trouve en ce lieu tardive vient d’un désir particulier. Le client revendique sa liberté de trajet : aller où il veut sans avoir une raison particulière, c’est pourquoi il semble refuser l’appelation de «client» . Ainsi, ils luttent entre deux êtres qui tente de s’apprivoiser, ils s’affrontent sur un accord indicible: le désir. Cependant, l’affrontement reste verbal, ainsi par la force des mots ils s’installent dans une défiance réciproque face à l’inconnu. A la page 41 : "C’est pourquoi je ne me fâcherais pas encore, parce que j’ai le temps de ne pas me fâcher, et j’ai le temps pour me fâcher, et que je me fâcherai peut-être quand tout ce temps là sera écoulé.» Dans cette phrase , Il y a une certaine volonté d’éviter le conflit de la part des hommes mais sans grande conviction. Le dealer, dès le début de sa réplique semble avoir cerné le client: « si j'avais un instant douté que vous n'eussiez ce qu'il faut pour payer ce que vous êtes venu chercher, j'aurais fait un écart lorsque vous vous êtes rapproché de moi »
Dans les tirades, on peux remarquer plusieurs antithèse et oxymore comme dealer/client ; homme/animal ; mâles/femelles ; blanc/noir ; fort/faible ; jour/nuit ; legal illégal. Donc on peux dire que la relation dealer/client peut être interpreté comme la métaphone de toute relation humaine. Mais cela deviendrais une