La zone euro, souvent critiquée, a survécu à une année 2012 difficile et instable lié notamment aux différentes crises subies depuis 2008.
Cependant, en 2013, la croissance économique sera toujours absente et voir même diminuer dans les pays de la zone euro lié notamment à la mise en place des politiques d'austérité. Ces économistes prédisent une croissance de 0,3% en France et 0,6% en Allemagne. Ces politiques instaurées par le FMI et Bruxelles ont pour but de lutter contre l'inflation et un fort chômage, phénomène appelée le Stagflation depuis les années 70 et ainsi redonner au pays la compétitivité dont il a besoin. Cependant, ces politiques empêchent toute activité économique de repartir bloquant alors la croissance. Les problèmes de déficit et de dette sont important car ils bloquent tout investissement et indépendance du pays lié aux politiques budgétaires. De plus, le chômage ne fera qu'augmenter en 2013, arrivant en France à 10,7% de la population active.

Par ailleurs, certains pays de la zone euro sont eux-mêmes perçu comme les dangers de 2013. C'est le cas de l'Espagne touché par un taux de chômage record de 25% en 2012. L'Espagne pourrait demander une aide financière à l'Europe et à la BCE pour atteindre ces objectifs de réduction des déficits. En Italie, Sergio Berlusconi, candidat aux élections législatives, prône un discours euros pectique voir même Anti-Allemagne. S'il est élu, Berlusconi pourrait remettre en cause les réformes établies par Mario Monti et ainsi "compliquer le redressement du pays". En France, cette fois-ci, François Hollande devra démontrer la solidité et la fermeté de la politique économique mise en place depuis son élection en mai 2012 dont l'objectif est un déficit à 3% du