Culture generale
La révolution française avait posé les bases de la citoyenneté qui coïnciderait l’engagement politique comme l’essence même des vertus démocratique. Dans la conception traditionnelle le citoyen était entièrement dévoué à une cause.
Au cours de la 2e moitié du 2Oeme siècle la crise du politique a transformé la notion d’engagement. Dans ce nouveau contexte nous explorerons l’évolution des modes traditionnels d’engagement puis nous nous pencherons sur l’existence possible de nouvelle forme de militantisme.
Le déclin de l’engagement politique traditionnelle A) Les formes du désengagement politique
* L’abstentionnisme : bien que l’abstentionnisme soit en hausse constante dans notre pays, il n’en demeure pas moins ambivalent. Il peut soit refléter un désinterner total de la politique soit une protestation et un désaccord avec la politique actuel. * La baisse et la transformation du militantisme : on constate en effet qu’il y a un vieillissement des militants qui sont de plus en plus des retraités. Les classes sociales les plus modestes se sont désengagées. Et les plus actifs actuellement dans les parties politique sont les cadres ou profession libérales. B) Les raisons de ce désengagement :
* Brouillage des repères droites / gauches * Multiplication des parties politiques et division au sein des parties * Le peuple ne se reconnait plus dans ses dirigeants * Monter de l’individualisme et baisse du patriotisme * Dégradation de l’image des hommes politique (avec leur coté people, et les « affaires » comme Betancourt). * Les sociétés modernes sont de plus en plus organisées autour de projets économiques et de moins en moins autour de projets politiques. * On a pu constater en France que la mobilisation n’a pas disparut mais qu’il s’agit davantage d’une mobilisation de refus que d’adhésion (referendum de la constitution ou deuxième tour de Chirac/ lepen).
D’où l’émergence