Critque : the big lebowsky
Critique de Film : The Big Lebowski
Los Angeles, années 50-60, Jeffrey Lebowski, surnommé Le Duc, passe sa vie à fumer des joints, à boire des bières avec ses amis et à jouer au bowling jusqu’au jour où des inconnus le prenant pour un autre Lebowski- qui lui est riche - urinent sur son tapis « qui fait bien dans la pièce ». Son ami John, vétéran du Vietnam propose que son homonyme, le Big Lebowski rembourse le tapis. La femme de ce dernier est kidnappée. Le Big Lebowski fait appel au Duc afin qu’il serve d’intermédiaire dans la libération de sa femme. Et Jeff Lebowski se trouve embarqué dans une vraie galère.
Les frères Coen réalisent un film déjanté qui dure 1h57. Le Duc croise un pornographe, une rousse accro à l’action painting,des nihilistes, etc. Les réalisateurs se sont inspirés de diverses personnes rencontrées au cours de leur vie. La trame du film est traitée à la manière de Chandler.
Le jeu des acteurs se révèle inouï. Jeff Bridges ( Le Duc )incarne à merveille un anti-héros paumé et oisif. Il ne s’exprime pas bien et vit sans code moral. John Goodman ( Walter ) le meilleur ami du Duc, est un autre anti-héros. Volcanique avec une grande force physique mais inefficace et maladroit. .
La bande originale du film a aussi contribué à en faire un film culte. La musique composée par Carter Burwell, vous tttttrttyttrtransportedansJetrouve exceptionnelle, elle vous plonge dans l’univers du film plutôt retro, contenant elle permet de te mettre dans l’univers du film plutôt retro, contenant l’univers du film plutôt retro, contenant
La musique composée par Carter Burwell, vous transporte dans l’univers rétro du film. La B.O contient de la pop, du rock, de l’électro qui peut plaire à un large public tout en conservant une bande son de qualité. Elle