Critique sur «votre couple va-t-il bien? oui, mais…
De plus en plus, dans les journaux et les revues, on nous présente des résultats de recherche dite scientifique. Que ce soit au sujet de l’actualité, de la psychologie ou encore de l’amour, ces résultats semblent à première vue pour un lecteur non averti, très valable. Ci-dessous, l’article écrit par Sylvia Galipeau «Votre couple va-t-il bien? Oui, mais…» sera critiqué en suivant les étapes de la démarche critique. Premièrement, il s’agira de la problématique. Deuxièmement, de la représentativité de l’échantillon. Troisièmement, le questionnaire et pour finir une critique sur l’analyse et les conclusions.
Premièrement, le thème de la recherche du texte étudié porte sur les relations de couple. Tout au long du texte, il s’agit de savoir ce qui peut rendre un couple en relation conflictuelle et de façon plus importante. Ou en d’autres termes : qu’elle est la source de conflit la plus dévastatrice dans un couple?
Deuxièmement, au niveau de la représentativité de l’échantillon, le chercheur a choisi comme population les Québécois. Parmi les Québécois, 1002 personnes en couple ou non ont répondu au sondage téléphonique réalisé du 16 au 26 octobre 2006. Dans l’article de Mme Galipeau, ce n’est pas spécifier de quelle manière ont été sélectionnés les sujets. On ne peut donc pas déterminer si l’échantillon est probabiliste ou non probabiliste. De plus, on ne peut pas affirmer que l’échantillon est représentatif de la population puisqu’on devrait avoir les mêmes proportions qui regroupent les caractéristiques de la population choisies.
Troisièmement, le questionnaire comporte quelques erreurs. Entre autres, nous n’avons pas toutes les questions donc nous ne pouvons pas savoir si elles étaient trop subjectives et si elles portaient à interprétation. De plus, la première question est beaucoup trop personnelle et indiscrète pour être la première question du sondage. Le chercheur aurait plutôt dû y aller par question