Critique macbett
Pour commencer, dans cette pièce, la trahison est l'un des thèmes important. La plupart des personnages de cette histoire subissent une trahison de la part d'un proche. L'exemple la plus clair semble être lorsque MacbeTT tue son compagnon puisqu'il se sent menacé, de peur à ce qu'il perde son statut de la royauté qui lui a été octroyé lorsque les deux soldats ont assassiné le roi Duncan. Il y a aussi une deuxième trahison qui découle de cet exemple, le roi Duncan qui se fait trahir par sa propre armée Ensuite, pour compléter le comble des choses, l'auteur de la pièce ajoute une quête de pouvoir attribuée à la majorité des personnages de l'histoire. Dès le début, Glamiss et Candor veulent se révolter contre le roi, mais pas seulement pour les bonnes raisons. Ils se font prendre à penser au pouvoir qu'ils pourraient posséder s'ils avaient la possibilité d'être au trône. Après une séries de manipulations, les deux soldats du souverain, qui servaient si bien leur roi, se mit ensemble pour commettre l'irréparable, c'est-à-dire tuer le roi. Si cette action fut seulement commandée pour arrêter cette imposture, elle ne l'était pas. En effet, MacbeTT peu à peu commença à vouloir de plus en plus de pouvoir et lorsque Banco voulu prendre place sur le trône, il fut éliminé. Par ailleurs, les sorcières exercent dans cette pièce une illusion maléfique. Elles parviennent à dissuader les protagonistes de l’histoire, MacbeTT et Banco. Pour continuer, les personnages de la pièce s'apprêtent bien avec le scénario proposé par l'auteur. Chaque personnage a un rôle important et particulier à jouer pour faire avancer l'histoire rendant ainsi difficile à distinguer les protagonistes. De plus, dans cette œuvre, le même synopsis se répète à deux reprises. Donc, le comte de Glamiss et de Candor sont les