Critique le matou d'yves beauchemin
Le Matou, écrit en 1981 par Yves Beauchemin, est le plus grand succès de l’écrivain québécois avec plus d’un million d’exemplaire vendu. Ce roman ce base sur un jeune Montréalais, au nom de Florent Boisonneault, qui rêve d’acquérir son propre restaurant. Les rêves de Florent commenceront à se réaliser lorsqu’il rencontre le vieux Egon Ratablavasky. Cependant, Florent remarquera bientôt qu’il ne partage aucunement les même intentions que Ratablavasky. Après tout les difficulté que subira Florent, il recherchera la revanche contre son malfaiteur. À travers son écriture, Beauchemin tente de passer un message en créant un trajet rempli d’aventure inattendu. Dans cette dissertation argumentative, nous discuterons, dans un premier temps, du style imagé de l’auteur qui nie à la compréhension du message véhiculé. Dans un deuxième temps, nous parlerons de la période du roman. Puis dans un dernier temps, nous aborderons le sujet du statut de la femme dans Le Matou. Par son écriture, Beauchemin a tenté de créer une imagerie vive et plaisante pour le lecteur afin de passer son message. Sois celui d’un jeune homme essayant de se prouver en ne s’avérant jamais à la défaite. Dans ce texte, les long discours descriptifs sont interminables. En fait, sans ces discours, le roman aurait pu être résumé en quelques lignes. En conséquence, malgré les hautes prévisions du roman, le style d’écriture ennuyant et sans originalité de l’auteur alourdi la lecture. Selon un weblog personnel anonyme, « si le roman avait fait 200 pages, j’aurais sans doute conclu : ouais, c’est mignon […] les aventures s’enchainent de façon rocambolesque, et ça finit par lasser sérieusement ». Encore plus, selon une jeune lectrice au pseudonyme de Clemillie : « il faut pouvoir voyager à travers ce [un] livre [afin qu’il sois considéré bon]. » Quant à des opinions personnelles, le message de l’auteur est la partie la plus importante du livre. Sans le message, un roman ne vaut rien. De plus,