Corpus
Le point commun qui unissent les personnages de ses extraits est qu'ils ont tous une colinéarité avec la nature qu'ils découvrent au fur et à mesure en présence .En effet ,dans la nausée le songe que fait Antoine lui permet de trouver refuge chez la nature ceci est attesté par" comme je me sens loin deux du haut de cette colline "en effet la colline représente une barrière entre le monde extérieur et un monde dépourvu de présence humaine .son acharnement fait qu'il qualifie ses siens de bonhommes noirs" mais encore il les traitent "d'imbéciles aux faces épaisses et rassurés" puisqu'il prétend appartenir à "une autre espèce " Georges duroy au contraire admire les paysages et le décor de là ville dans toutes ses facettes et contemple toutes ses merveilles" on dominait l'immense vallée longue et large que le fleuve clair parcourait d'un bout à l'autre avec de grandes ongulations " à travers le regard des voyageurs nous avons une description d'une ville contemporaine"ouvrière" basée sur l'industrialisation ceci est attesté par une comparaison des"on voyait des navires montant et descendant le fleuve traités par des barques à vapeur grosses comme des mouches qui cachaient des fumée épaisse" symbolisant la gloire,l'admiration pour" toutes les races de promeneurs ".Pour julien sorel la nature est source d'apaisement qu'il découvre en perspective en effet dans un premier temps elle lui communique à son âme sérénité et joie , c'est aussi une source d'ambition tel un conquérant il voyait à ses pieds vingt lieues de pays il rêvait une destinée semblable à napoléon vers de nouveaux horizons et de nouvelles victoires le menant à adopter des stratégies"mais à demain les pénibles recherches ", la présence de l'anaphore "son oeil suivait machinalement l'oiseau de proie il