CORPUS- Condition feminimes
_ Quelle image de la condition féminine au XVIIIe siècle nous est-elle donnée dans ce corpus ?
Nous distinguons deux groupes de texte : Le texte de J.J ROUSSEAU et le texte de MARIVAUX qui sont tous deux des textes ou les hommes présent refuse une émancipation de la femme et continue de la voir comme soumise. Tandis que les textes de Olympe de Gouges et Choderlos de Laclos sont eux des femmes qui ont un sentiment de pouvoir, dans le texte d’Olympe de Gouge celle-ci réclame des droits pour la femme et dans le texte de Laclos Md. De Merteuil se sent au-dessus de Valmont.
Au siècle des lumières les mentalités reste très fermés sur le sujet des femmes, les hommes considèrent que les femmes qui ont « de l’éducation » ne sont pas celles qui convienne mais qu’il faudrait mieux choisir une femme « grossièrement élevée » comme nous le dit le texte de Jean-Jacques ROUSSEAU : (L-2-3) « Mais j’aimerais encore cent fois mieux une fille simple et grossièrement élevée qu’une fille savante et bel esprit. » Pour compléter cette avis dénigrant de la femme, le texte de Marivaux nous montre que les hommes ne considère pas les femmes comme égales à eux : (L3-6) « -(...) Exercer avec vous tous les emplois, ceux de finance, de judicature et d’épée.
D’épée, Madame ?
Oui, d’épée, Monsieur. (..) »
Les deux textes ici confrontée montre que