Controverse entre mudok et une femme
Les mots n'ont point de valeur
Car telle une lame
Ils se perdent dans un océan de douleur
Je croit a l'espoir
Je croit à la vie
Je croit au vouloir
Je croit à ces crient
Qui crient :
L'espoir est en moi
Moi qui suis toi
Vie avec moi
Moi
Qui suis l'homme
L'homme n'est-il pas destiné à...
A vivre pour mourir
Qui suit la mort à jamais vivra
L'homme n'est qu'un animal, vil
Seul animal
Peut crier à l'animal
Tu n'est point une bestiale
Tu est nous, vitale
Car tu es forte et belle
Mais sans lui
Tu n'est point éternelle
Et-tu sûr de ce que tu dit ?
La beauté ne se reflète-t-elle pas dans le cœur de celui qui le lit ?
Lire pour moi, femme, c'est vivre en accord avec soi, c'est être digne.
Rebelle ! Non, juste ivre d'une passion éternelle
Car elle s'est liée en une seule ligne,
C'est une maladie,
C'est la maladie de l'écrit...
Je vois en toi comme je vois dans un livre
Un écrit, une histoire, qui cherche a survivre
Dans une vie, dans une terre
Qui, d'après elle, exemple d'un Finistère
Tu vie, certe, tu vie cette voie
Mais, seul à te dire que tu te trompe
Je ne te juge, je ne doit pas, serais une honte mais mon conseil n'est seul, et mon unique façon de vivre, façon de lire, dans cette vie fatidique...
Il est certains dires que l'amour représente le bonheur
Il est certains dires que bonheur rime avec malheur
Et toi dans tous cela, ou te situe-tu ?
Soit le bonheur, de voir ce monde en couleur
Soit le malheur de reconnaître les mœurs
Ces mœurs qui enlient ce cœur de douleur
Douleur sans pudeur
Car la pudeur du cœur n'est dût qu'a
Une âme en peur
Peur de dire cette terrible vérité qui sont
Les froides sueurs
Qui mènent en dérivent mon cœur
Tu vois, j'ai levé le voile
Sur ce que tu appels le mystère...
Je me situe entre le vent,
Rime du lent
Puissant de l'air,
Air du désert
Je me situe la, ou l'œil ne me perçoit
Une vallée d'ombre,
Noir par le sombre
Je suis lumière,