Platon était un grand philosophe, élève de Socrate, qui a posé l'analogie de la caverne, communément appelé le chemin vers la connaissance. Ce chemin sert en fait à former les nouveaux philosophes, donc, des gens étant aussi ignorants que savants. C'est-à-dire, que les individus devaient en autre, ignorer, mais savoir qu'ils ignoraient. Bref, la question qu'on doit se poser c'est si le chemin vers la connaissance s'accompagne nécessairement de la souffrance. Bien que cela ne semble invraisemblable, il est évident que le chemin vers la connaissance vient avec de la souffrance. Dans ce texte, en basant mes propos sur les écrits de Platon, j'appuierai ma thèse à l'aide d'arguments que j'objecterai, suivi d'une réfutation et d'une conclusion.

Avant de pouvoir argumenter sur le sujet, il faut tout d'abord définir les concepts en lien avec la problématique. En effet, il faut avant tout se poser se qu'est la souffrance. Dans le Petit Larousse Illustré 2011, on y trouve la définition suivante: «Supporter quelque chose de pénible; endurer, subir». Étant une définition circulaire et vague, selon moi, elle ne correspond pas aux critères d’une définition philosophiquement acceptable. Selon moi, c’est lorsque l’humain atteint ses limites de tolérance envers ce qui lui a été affligé. De plus, il est écrit dans que le Petit Larousse Illustré 2011 que la connaissance est: «Faculté de connaître, de se représenter; manière de comprendre, de percevoir». Comme la définition précédente, la définition me semble circulaire et ne fait qu'énumérer d'autres synonymes du concept. Je crois en fait, que c'est la capacité à l'individu d'acquérir le savoir.

Premièrement, il est inévitable que l’acquisition de connaissances s’accompagne de la souffrance. En effet, dans les écrits de Platon, celui explique que peu importe le savoir qu’on apprend, il faut apprendre le bon et le mauvais côté des choses. Par exemple, pour atteindre le bonheur, il faut savoir ce qu’est souffrir. Notre philosophe