Le sujet de la conférence de monsieur Bocque-Côté était : Le bilan du nationalisme Québécois de

1995 à aujourd’hui. Pourquoi cette date nous s’a-t-il dit parce qu’il y a eu le 30 octobre 1995 pour

être plus exacte, le dernier référendum ou se fut le début d’une nouvelle époque pour le /50/

peuple Québécois. Les votes étaient cependant très serrés, 49.4% de la population ont votés oui

au référendum, mais 50,6% de cette même population ont votés non. Plusieurs s’entendent pour

dire que les Québécois ont votés en masse dans le sens du référendum et que c’est en majeur

partie a cause des votes /100/ ethniques, anglais et de l’argent qui circulait en grande partie dans

le reste du Canada que ce projet n’a pas pu voir le jour. Les Québécois savent bien que le vote

était très prêt de la victoire, se sera alors le début d’un vent de crise et de panique chez /150/ les

Québécois. Et si c’était vrai? Ce demandent il. Et si tout les reproches que anglais nous font

étaient vrai! Des soupçons de culpabilité sur le nationalisme et souverainisme québécois

commencent à faire surface. M. Bocque-Côté appelle cette grand période pour le peuple

québécois les étapes de la mutation /200/ des souverainismes. Cela commence en 1996, tout de

suite après le dite référendum, il y a eu un rassemblement du parti Québécois qui ont à la grande

surprise de tous, en quelque sorte, sacrifié le nationalisme linguistiques du Québec. À la place de

serrer un peu plus la visse face /250/ à la loi 101, ils l’ont plutôt devisé. Suite à cela l’histoire de

notre démocratie est bafouée en 1998. Dans les années 2000 à 2001, un certain Ive Michot fut

chassé et alors ont (les québécois) ne se sens plus majoritaire. Ont se rend finalement compte que

nous n’avons jamais /300/ été consultés pour le nu identitaire que nous avons subi. En 2006, la

crise des accommodements raisonnables retient l’attention en raison des différentes remises en