S'est au passé que l'on doit l'apogée de l'esprit patriotique québécois. La première parti du texte fait référence au passé et démontre un sentiment de fierté de la part de l'auteur envers l'identité québécoise. Nous pouvons le constater dans le passage suivant: «parce que le chez-nous, il se tenait le dos drette. Le chez-nous, il se tenait au bout du mât ». Ici, la répétition de « chez-nous » fait référence au Québec et crée un effet d'insistance sur l'aspect patriotique de la chose. La tonalité didactique démontre aussi la position de l'auteur face au propos soulevés dans le texte et sa volonté de convaincre le locuteur sur sa véracité. Il faut également prendre en considération la métaphore du bateau lorsqu'il parle du « bout du mât ». Nous pouvons comprendre qu'il fait allusion à la parti qui pointe vers l'avant du bateau comme ces québécois qui avançaient avec intérêt et conviction d'en apprendre d'avantage. De plus, l'utilisation de la métonymie « dos drette » met l'accent sur ce sentiment de fierté ressentie par ceux-ci. L'auteur en profite également pour faire l'éloge des histoires auxquelles les québécois accordaient beaucoup d'importance autrefois. On constate cette importance dans les affirmations suivantes: « Ça chauffait les maisons. Ça tenais en haleine les enfants puis les soirs longs», « Les usages et les jours, côtoyaient les légendes ». Ces passages illustrent le fait que, auparavant, les québécois ce réunissait en familles pour propager ces histoires. Ces légendes inspiraient les générations et leur procuraient satisfaction. On remarque aussi que l'auteur met l'accent sur les temps de verbe au passé: « C'était des dires, C'était des contes, C'était des histoire à rester debout » Ce qui à pour effet de renforcer le point de vue de l'auteur sur le passé dont il fait